Bilan HQc au jour 17
En fin de journée dimanche, Hydro-Québec avait récupéré 28 mille litres d’hydrocarbure déversé dans le sol du port de Cap-aux-Meules.
En comparaison, près de 11 mille litres d’hydrocarbure avaient été récupérés par pompage, sur la nappe phréatique atteinte par la pollution de l’ancienne centrale thermique de Lavernière, dans les années 1990.
La Société d’État estime que le bris de son pipeline, décelé le 11 septembre, a laissé fuir 100 mille litres de diésel dans le port.
Trois tranchées de confinement y ont été creusées, d’où on a excavé 240 mètres cubes de sols contaminés jusqu’à présent.
Hydro-Québec a aussi foré 22 puits d’observation et de récupération sur le site, afin de délimiter la zone polluée.
La défaillance de l’oléoduc a été localisée et doit encore faire l’objet d’une inspection spécialisée avant de décider si on la répare ou si on reconstruit la structure de trois kilomètres.
La Société d’État n’exclut pas la possibilité qu’il y ait un autre bris ailleurs dans l’oléoduc.
