En attente d’ouvriers d’étrangers

Après deux années de démarches, Cap sur Mer n’a toujours pas réussi à embaucher des travailleurs étrangers pour suppléer à son besoin de main-d’oeuvre.

Sa directrice de production, Valérie Renaud, qualifie ce besoin de criant, dans un contexte de vieillissement accéléré de la population.

Aussi l’entreprise devra-t-elle éventuellement se tourner vers une plus grande mécanisation:

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Cap sur Mer visait le recrutement d’une trentaine de travailleurs étrangers pour le début de la saison de pêche au homard.

Or, selon Valérie Renaud, ce sont des changements apportés aux procédures d’Immigration Québec en avril qui ont ralenti ses démarches.

Les ouvriers, du Mexique et du Guatemala, sont donc désormais attendus pour l’automne:

Cap sur Mer compte actuellement plus de 330 employés répartis dans ses deux usines de Grande-Entrée et de Gros Cap.

Une dizaine d’entre eux sont originaires du Nouveau-Brunswick.