La rameuse laisse un sillage
La rameuse océanique Mylène Paquette était de passage dans l’archipel cette semaine.
L’entreprise Léo Leblanc et Fils de Cap-aux-Meules effectue des améliorations à son embarcation, en vue de son périple transatlantique en solitaire, prévu au printemps 2013.
Même si son périple en solitaire sur l’océan atlantique entre les Îles et la France, est reporté d’un an, Mylène Paquette ne s’arrête pas pour autant.
Rappelons qu’en décembre dernier, une fracture du bras gauche l’a obligée à remettre à plus tard son voyage à la rame.
Pourtant dit-elle, au cours de l’été prochain, elle s’embarquera sur un voilier pour une traversée en équipage, entre la France et le Québec en passant par le Groenland :
Par ailleurs, l’athlète continue de solliciter des commanditaires pour sa traversée de l’Atlantique, dont les frais minimum de base s’élèvent plus 60 mille dollars.
Également ambassadrice pour la fondation David Suzuki, elle s’est découvert la fibre de conférencière :
Mylène Paquette a également profité de son séjour pour déguster la nouvelle bière élaborée en son honneur à la microbrasserie À l’abri de la Tempête.
La rameuse, une rousse à 5 pour cent d’alcool, qui sera lancée dans quelques jours, fait partie de la série de bières momentanéement brassées qu’on appelle Les palabres.
