Le contrat de Génivar est scindé
Transports Québec a finalement conclu une entente avec Génivar pour l’étude sur les coûts et avantages des différentes solutions pour contrer l’érosion des berges dans l’archipel.
Le mandat de la firme d’ingénieurs conseil s’élève à 500 mille dollars, contre une proposition initiale d’un virgule huit million de dollars déposée en janvier 2010, suite à un processus d’appel d’offre.
Ainsi, l’étude pour protéger la route 199 contre l’érosion a été scindée en deux parties.
Elle débutera en juin par une prise de données sur le terrain.
Ce volet a été confié, chacun selon son expertise, à l’Université du Québec à Rimouski, à l’Institut des sciences de la mer et au Centre interdisciplinaire de développement en cartographie des océans.
Ainsi, l’UQAR mènera les relevés topographique des berges, l’ISMER mesurera le niveau des marées et les courants, tandis que le CIDCO procédera aux relevés bathymétriques pour dresser la topographie du fond marin, de préciser la porte-parole de la direction régionale de Transports Québec, Martine Lévesque:
Ce n’est donc qu’une fois l’analyse des relevés sur le terrain que Génivar amorcera son étude de faisabilité: Le rapport final de Génivar devra être déposé pour le mois de mars 2014.L’étude globale, incluant la part des institutions de recherche, coûtera moins d’un million de dollars au ministère des Transports du Québec.
