Commercialisation toujours difficile pour la mariculture du Qc
La commercialisation des produits de la mariculture québécoise reste difficile, selon Réjean Tremblay, professeur à l’Institut des sciences de la mer de l’université du Québec à Rimouski.
Ce spécialiste de l’aquaculture note que les Québécois n’en sont toujours pas de grands consommateurs.
Pourtant, ce sont des produits bons pour la santé, de faire valoir M. Tremblay :
L’industrie québécoise de la mariculture fait également face à une importante concurrence, tant de la part des marchés extérieurs que domestiques.Par exemple, les moules de l’Île-du-Prince-Édouard comptent à elles seules pour plus de 90 pour cent de la production de l’Amérique du Nord :
Il y a cinq ans, la production maricole québécoise frisait les 400 tonnes métriques; ce qui représente à peine un pour cent de l’ensemble de la production aquacole canadienne.Le ministère québécois des pêcheries n’a pas mis à jour les données de son site Internet depuis 2012.