Le bras de fer entre Uber et les taxis a-t-il des répercussions jusqu’aux Îles?
Stéphane Plante, propriétaire de Taxi Madeli, approuve l’idée d’une dérèglementation de l’industrie plutôt que l’exigence d’une redevance des chauffeurs sans permis.
Ces deux options ressortent d’une commission parlementaire sur la modernisation du système que provoque la venue d’Uber en sol québécois.
Uber est une entreprise technologique qui exploite des applications mobiles de mise en contact d’utilisateurs de services de transport avec des conducteurs indépendants.
Pour M. Plante, une abolition de la réglementation sur les permis de taxis devrait être assortie d’une compensation :
Stéphane Plante ne croit pas pour autant qu’Uber pourrait s’implanter aux Îles, parce qu’à son avis, l’offre de service répond déjà largement à la demande.Il soutient néanmoins que la dérèglementation qu’envisage le gouvernement du Québec pourrait mener à des améliorations dans l’archipel :
Avec trois compagnies, les Îles disposent présentement d’une flotte de sept taxis.