Hydro-Québec se défend d’avoir laissé son pipeline se détériorer

Hydro-Québec affirme avoir apporté les correctifs nécessaires à chacune des anomalies de corrosion détectées sur son oléoduc, au fil des ans.

Ainsi, bien qu’elle reconnaisse sa responsabilité dans le déversement de 100 mille litres de diésel dans le port de Cap-aux-Meules, la Société d’état se porte en faux contre certains des éléments du rapport d’enquête ministérielle.

Son directeur de l’encadrement des réseaux et de la planification, Alain Sayegh, dément entre autre l’information selon laquelle la protection cathodique du pipeline ne fonctionnait plus :

Cela dit, Hydro-Québec assure que son oléoduc est aujourd’hui tout à fait sécuritaire :

Alain Sayegh dit aussi entendre l’appel de la communauté pour un dédommagement, en plus de l’amende de 410 mille dollars versée au Fonds Vert.

Il dit que cette demande est sous analyse.