Projet de vivier à Montréal pour le homard madelinot

Le moyen pour le homard des Îles de reprendre une place de choix sur le marché québécois passe par la construction d’un vivier à Montréal.

C’est du moins ce qu‘affirme Jean-Paul Gagné, directeur de l’Association québécoise de l’industrie de la pêche.

Selon lui, c’est l’accessibilité rapide à une fraîcheur du produit qui favorise le homard gaspésien auprès de la clientèle du Québec :

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De son côté, Annie Landry, consultante indépendante en gestion des pêches, soutient que le projet de vivier mérite avant tout d’être approfondi :

Plus de 80 pour cent de la production de homards des Îles est actuellement vendu aux États-Unis.