Le bonheur des uns, le malheur des autres !

Le temps chaud et sec que l’on connaît risque de compromettre sérieusement les récoltes de cette année dans l’archipel.

Selon l’agronome du MAPAQ Robert Robitaille, les îles connaissent un déficit de près de 80 millimètres d’eau par rapport au besoin minimum des plants :

Au niveau des cultures de fourrage les plants sont en avance par rapport à l’année passée dans leur développement, mais avec moitié moins de volume d’expliquer l’agronome :

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Pour les cultures maraichères les conséquences du temps chaud et sec sont plus dramatiques et le manque d’eau a un impact majeur sur la germination d’indiquer Robert Robitaille :

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Selon M. Robitaille une amélioration des conditions à court terme est peu probable.

Il note que de fortes pluies seraient nécessaires pour sauver les récoltes sans pour autant espérer de bons rendements.

Ce n’est qu’à l’automne qu’il sera possible d’évaluer les pertes encourues par les agriculteurs madelinots.