Cap sur Mer suscite l’intérêt

Cinq organisations, toutes de l’extérieur de l’archipel, ont déjà manifesté leur intérêt à investir dans la relance de Cap sur Mer.

Le président de l’entreprise de transformation des produits marins en difficulté financière, Jacques Desrosiers, précise qu’on ne recherche pas nécessairement un partenariat québécois :

Selon M. Desrosiers, l’analyse des offres que sollicite la firme d’experts comptables Price Waterhouse Coopers, sera soumise à un comité d’expert pour prise de décision en début d’année.

Tous les scénarios pour assurer la survie de Cap sur Mer sont sur la table :

Jacques Desrosiers précise qu’il est primordial que les nouveaux dirigeants de Cap sur Mer établissent un partenariat avec les pêcheurs.

De plus, la relance de l’entreprise devra surtout être axée sur la diversification de ses marchés, dit-il :

Soulignant que le temps presse, le président de Cap sur Mer veut être fixé tôt en février sur la forme que prendront les nouveaux investissements pour relancer l’entreprise.

Jacques Desrosiers prévient qu’elle fera faillite à défaut d’une injection importante de nouveaux capitaux ou d’un changement de propriété.