Trois concurrents en lice

Des six entreprises ayant manifesté leur intérêt à investir dans Cap sur Mer, il n’en reste plus que trois sur les rangs.

Ces dernières répondent toutes aux exigences de l’appel lancé par le gouvernement du Québec, afin de sauver l’entreprise de transformation de la faillite.

La préservation de deux usines de traitement du crabe et du homard, de même que 400 emplois sont en jeu.

Les acquéreurs potentiels des actifs de Cap sur Mer en visiteront tour à tour les installations cette semaine, avant de préparer leur offre finale.

Toutes les offres devront être déposées pour le 21 février, au plus tard.

Précisons que deux des trois propositions de relance de Cap sur Mer sont appuyées par des pêcheurs, des transformateurs et des gens d’affaires des Îles-de-la-Madeleine.

Ces Madelinots se présentent également comme des partenaires financiers potentiels.