Raphaël à Ti-Jean : mi-figue, mi-raisin
Présentée jusqu’à samedi au Théâtre La Licorne, à Montréal, la pièce Raphaël à Ti-Jean de l’auteur madelinot Cédric Landry, reçoit un accueil mitigé.
Selon le critique du journal Le Devoir de dimanche dernier la pièce produite par le Théâtre des gens d’en bas, traite de sujets déjà usés
On considère que ses créateurs ratent leur cible.
Pour sa part, le journal La Presse qualifie de catastrophique sa direction d’acteur assumée par Eudore Belzile.
Au lendemain de la première, on y lit que malgré les 40 ans d’expérience du metteur en scène, la production sans gouvernail va à la dérive.
Par ailleurs, dans le journal VOIR du 10 avril, on publie que Raphaël à Ti-Jean s’articule autour de nombreux effets de surprise, dans une architecture dramatique solide.
L’écriture de l’auteur, soutenue par dialogues réalistes est tout de même intelligente et porte à réfléchir sur les questions du rapport au territoire et des valeurs familiales.