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Changements aux registres paroissiaux apportés par l’Église catholique au Québec

Photo: Yoanis Menge

Depuis le premier janvier, les registres paroissiaux du Québec n’exigent plus la signature du père, ni du parrain, ni de la marraine lors de baptêmes, ni celle des mariés ou des témoins pour les mariages.

Seule la signature du prêtre figurera sur les documents, qui n’ont plus de valeur légale aux yeux du ministère de l’État civil depuis 1994, et qui ne contiennent désormais que les informations requises par le droit canonique.

Le chancelier du Diocèse de Gaspé, l’Abbé Serge Tidjani, souligne que l’Église vient simplifier la teneur des registres, en plus de s’adapter aux réalités modernes, par exemple, la possibilité d’inscrire le nom de deux parents du même sexe sur un baptistère :

Les époux devront toutefois continuer de signer le document civil.

La seule exception à l’élimination des signatures est liée aux funérailles, plus précisément aux sépultures :

Selon l’abbé Tidjani, cette nouvelle façon de procéder diminuera les risques de détériorations ou de pertes de données, puisque les registres religieux ne seront plus déplacés dans les différents endroits de culte de la paroisse.

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