Conditions de marché favorables pour le homard

Alors qu’ils étaient encore les seuls pêcheurs canadiens de homard sur le marché, la semaine dernière, les néo-écossais du sud-ouest ont reçu huit dollars la livre.
Selon Stewart Lamont, directeur général de Tangier Lobster, c’est un dollar de plus qu’à pareille date l’an dernier.
Il précise que le prix a atteint les 13 dollars la livre au début avril, quand les conditions climatiques étaient défavorables
Selon M. Lamont, les prix qu’il qualifie d’extrêmement élevés s’expliquent par la progression de la demande du marché chinois, par la force du dollar américain et par la très forte compétition entre les joueurs de l’industrie canadienne.
Il précise qu’il faudra recruter les consommateurs, dont il anticipe une certaine résistance à la Fête des Mères :
Fait intéressant, les prix payés à quai au sud-ouest de la Nouvelle-Écosse cet hiver étaient très élevés malgré des volumes que Stewart Lamont qualifie d’énormes et dont la qualité n’était pas optimale.