Corrosion du pipeline d’Hydro-Québec: qu’en savait la RBQ?
Sylvain Lamothe est porte-parole de la Régie du bâtiment du Québec, de qui relèvent les permis d’exploitation des oléoducs, comme celui d’Hydro-Québec qui s’est déversé dans le port de Cap-aux-Meules, en septembre 2014.
Et, alors qu’une enquête du ministère de l’Environnement, suite à ce déversement de 100 mille livres de diésel, a révélé six mille 500 anomalies de corrosion, j’ai cherché à savoir pourquoi la RBQ n’avait-elle-même rien décelée.
J’ai d’abord demandé à M. Lamothe de nous expliquer comment son organisation procède pour attester de la conformité des pipelines…