Démarche collective pour la sécurité et l’autonomie alimentaire
L’Équipe de développement social, accompagnée de la Santé publique régionale, tenait une journée de réflexion mercredi sur l’autonomie et la sécurité alimentaire dans l’archipel.
Près d’une quarantaine de représentants issus d’organismes communautaires, du milieu éducatif, de producteurs agricoles, du Bon goût frais des Îles, du CERMIM et des deux municipalités se sont joint à l’exercice.
La responsable du développement des communautés et de la sécurité alimentaire à la Santé publique, Suzanne Gérin-Lajoie, souligne que son service appuiera le milieu dans la détermination des saines habitudes de vie à mettre de l’avant à l’intérieur d’une démarche structurée :
De son côté, l’agent de mobilisation, André St-Onge, a dévoilé les résultats préliminaires d’une mise à jour de l’étude comparative du coût de l’épicerie, réalisée il y a plus d’un an avec le dispensaire diététique de Montréal.
Selon lui, la mise à jour de l’étude, qui établissait que le panier d’épicerie était 16 pour cent plus cher aux Îles que dans la métropole, contient des résultats surprenants :
Des mesures pour enrayer le gaspillage alimentaire, l’augmentation de la production de produits locaux, des ententes d’achats groupés pour diminuer les frais de transport et l’enseignement de saines habitudes à l’école font partie des actions prioritaires ciblées par le groupe de réflexion.
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