Impact de la désoxygénation sur les espèces commerciales
Selon Pêches et Océans Canada, la désoxygénation des eaux profondes du golfe du Saint-Laurent réduit la superficie de l’habitat des espèces qui en dépendent, comme la morue.
À 250 mètres de profondeur à l’Est des Îles, par exemple, le taux de saturation varie entre 40 et 50 pour cent, alors que ce poisson éprouve des problèmes de croissance dès qu’il passe sous la barre des 70 pour cent.
Qu’en est-il des autres espèces commerciales pêchées par les Madelinots, comme le sébaste et le flétan de l’Atlantique?
J’ai posé la question au chercheur spécialisé en écophysiologie, Denis Chabot, de de l’Institut Maurice Lamontagne…
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