L’AQIP a des réserves
L’Association québécoise de l’industrie de la pêche est, à l’instar des Madelinots, réticente à participer au plan de financement à long terme du Conseil canadien du homard.
Les acheteurs et les pêcheurs sont appelés à y verser chacun l’équivalent de un-demi sous pour chaque livre de crustacé livré à quai.
Le directeur-général de l’AQIP, Jean-Paul Gagné, souligne que son conseil d’administration émet des réserves:
Pour sa part, le directeur-exécutif de l’Association des pêcheurs propriétaires des Îles, Léonard Poirier, ne voit pas l’intérêt de chercher à percer les marchés internationaux tel que le vise le CCH.M. Gagné admet qu’il est plus pressant de consolider la position de l’industrie québécoise du homard vivant sur le marché domestique:
Cela dit, l’AQIP attend de discuter avec les associations de pêcheurs des Îles et de la Gaspésie, avant d’adopter une position officielle dans ce dossier.Une conférence-téléphonique est prévue prochainement.
