La Renaissance manque de travailleurs
Les usines de transformation de La Renaissance des Îles fonctionnent à plein régime.
À Grande-Entrée, lorsqu’on manque de crabe, on traîte les débarquements de homard de l’archipel, tout comme à Gros Cap.
La présidente-directrice-générale de l’entreprise, Lynn Albert, précise toutefois qu’il lui faudrait une centaine de personnes de plus à l’ouvrage :
Le marché du homard vivant est tout particulièrement problématique, de convenir Mme Albert, à cause de l’importance des débarquements partout au Canada atlantique.Aux Îles, on enregistre une croissance de 40 pour cent des captures par rapport à la même période de l’an dernier :
La Renaissance exporte son homard vivant aux États-Unis.Ses produits transformés y sont également dirigés, de même qu’en Asie.