Manon Richard

Le Fumoir d’Antan: investissement majeur

La Fumoir d’Antan a désormais les équipements nécessaires pour percer le marché québécois.

Après un investissement de 400 mille dollars et l’achat d’un fumoir mécanique, les artisans de la Pointe-Basse pourront produire jusqu’à 300 mille livres de produits fumés.

Pour Benoit Arseneau copropriétaire du Fumoir d’Antan, ces investissements étaient nécessaires pour rester concurrentiel :

Au Fumoir d’Antan, le hareng demeure un incontournable mais ne compte plus que pour 50 pour cent,de la production annuelle.

L’entreprise artisanale fume également le maquereau, le saumon et le pétoncle.

Benoit Arseneau vise notamment une percée de ses nouveaux produits, sur les marchés de Montréal et Québec :

Précisons que l’entreprise exploite aussi un économusée depuis douze ans et offrira dès le mois d’août, une toute nouvelle salle d’interprétation, d’ajouter Benoit Arseneau.