Pourquoi l’Internet à haute-vitesse se fait-il attendre?
Alors qu’on peine à avoir une vitesse de téléchargement de cinq mégabits, aux Îles, voilà que Télébec annonce une augmentation de sept dollars de son forfait Internet dit haute vitesse, à compter du premier mars; ce qui correspond à une hausse de 10 pour cent.
Et pendant ce temps, on tarde à faire l’annonce de l’investissement fédéral-provincial dans le cadre des programmes Brancher pour innover et Québec branché, pour brancher les Madelinots à la fibre optique, alors que 31 millions de dollars ont été annoncés à cet effet en décembre pour l’Est du Québec.
J’ai demandé à Dominique Anglade, qui est vice-première ministre et ministre de l’Économie, des Sciences et de l’Innovation, de nous expliquez-nous ce qui bloque; pourquoi son choix est-il si long à faire entre les deux soumissions qu’elle a sur la table : celle du RICEIM, en partenariat avec Bell Canada, et celle de Déry Telecom, nouveau propriétaire de Duclos et Michaud. Voici ce qu’elle nous a répondu…

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