Miel en Mer: Se diversifier pour pallier au printemps froid
L’entreprise Miel en Mer est victime du printemps frais qui a retardé la floraison et la naissance de ses butineuses, ce qui fait qu’on commence à peine à récolter le miel, habituellement disponible vers la mi-juillet.
L’apiculteur Jules Arseneau possède une colonie de 120 ruches, qui produisent chacune 40 kilos de miel par année en moyenne, qui est vendu presque exclusivement aux Îles.
S’il se dit désolé de voir la clientèle touristique partir sans le miel qu’elle désirait obtenir chez lui, M. Arseneau arrive quand même à compenser en diversifiant son offre de service avec des produits comme l’hydromel, la canneberge séchée et des activités d’interprétation et de création :
Inscrit depuis deux ans à la Financière agricole du Québec, le producteur madelinot ne prévoit pas envoyer d’avis de dommages, anticipant plutôt un retard dans sa production d’été et celle d’automne, plutôt que des pertes :
Même s’il privilégie la qualité de son produit avant le rendement de volume, Jules Arseneau espère amener sa colonie à 200 ruches et développer de nouveaux produits comme par exemple des pastilles au miel.
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