La paroisse Saint-Pierre doit prendre son mal en patience
Les tests de restauration du bardeau de l’église de Lavernière, commandés par le ministère de la Culture du Québec, sont complétés depuis la semaine dernière.
Le problème, c’est que la peinture s’écaille plus rapidement que la normale, sur cet édifice classé monument historique.
L’architecte Marie-Hélène Verdier, qui supervise l’expérience, explique qu’une dizaine de section a été peinturée avec un enduit à base d’huile de lin :
Camil Cyr, président de la Fabrique Saint-Pierre, précise que le coût des deux solutions sur la table pour redonner meilleure mine à l’église va du simple au double.
Il en coûterait 500 mille dollars pour la repeindre, contre un million de dollars pour le remplacement complet des bardeaux :
C’est l’entreprise Construction des Îles qui a décroché le contrat, de moins de deux mille dollars, pour faire le test de peinture à base d’huile de lin.
Il faudra attendre jusqu’au printemps, pour savoir si l’expérience est un succès.
Laisser un commentaire