Politique et médias… Critique ou vengeance ?

Le maire des Îles, Jonathan Lapierre, dénonce l’acharnement de son prédécesseur, Joël Arseneau, aujourd’hui éditorialiste à l’hebdomadaire Le Radar.

Dans l’édition du 7 novembre, ce dernier indique que le maire Lapierre s’enferme dans un silence navrant, voire complice face à l’abolition prochaine de la Conférence régionale des élus et du Centre local de développement.

Joël Arseneau estime qu’un tel mutisme est très éloquent, comme si le capitaine avait déjà largué l’équipage et quitté le navire en perdition, écrit-il.

Or, selon M. Lapierre, sa position a toujours été claire :

Outre ce chapitre sur la fermeture de la CRÉ et du CLD, Jonathan Lapierre fait valoir que l’éditorial de M. Arseneau consiste essentiellement, semaine après semaine, à casser du sucre sur son dos et celui de la municipalité :

Le maire y voit une défaite mal digérée et une façon de se servir des médias à ses propres fins politiques.