Résistance de l’industrie locale
Le projet de financement à long terme du Conseil canadien du homard rencontre de la résistance aux Îles.
L’organisme, voué au développement des marchés internationaux du homard vivant et transformé pour en rehausser la valeur à quai, demande à l’industrie de lui verser une cotisation équivalente à un sous la livre.
C’est beaucoup, de commenter Winston Clark, directeur de la Coopérative du Cap Dauphin, de Grosse-Île:
Pour sa part, le directeur-exécutif de l’Association des pêcheurs propriétaires des Îles, Léonard Poirier, ne voit pas l’intérêt, pour l’industrie locale du homard vivant, de chercher à percer les marchés internationaux comme la Chine:AUDIO2
M. Poirier précise que l’APPIM devra discuter avec les pêcheurs gaspésiens et l’Association québécoise de l’industrie de la pêche, avant de décider si elle appuie ou non, le plan de financement à long terme du Conseil canadien du homard.
