Sortie de crise
L’économie sociale et solidaire est définitivement une voie de sortie pour la crise qui secoue la planète, tant sur les plans financier, qu’économique, alimentaire et environnemental.
C’est la conclusion unanime à laquelle parvienne les trois premiers conférenciers de la journée d’hier: le représentant du Réseau Africain d’Économie Sociale et Solidaire, une ministre d’Amérique du Sud et une chercheur européenne.
Le président de la Fédération québécoise des municipalités, Bernard Généreux, retient que l’économie sociale ne doit pas être qu’un simple mode de subsistance parallèle:
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Ainsi, l’économie sociale et solidaire, comme la clé d’un nouveau modèle économique, commande une mobilisation non seulement citoyenne, mais aussi gouvernementale.
La présidente et directrice-générale du Chantier de l’économie sociale du Québec, Nancy Neamtan, souligne à ce propos que la République de l’Équateur en a jusqu’à fait un projet de société inscrit dans sa constitution:
Bref, selon les conférenciers du FIESS, l’économie sociale et solidaire se présente comme un outil de développement durable et d’espérance collective.En ce sens, ils concluent qu’il y a urgence pour une volonté politique d’action.
