L’eau et son impact sur le homard
Les eaux plus chaudes et les conditions océaniques plus acides semblent ralentir la croissance des larves de homard.
C’est ce que révèle une étude préliminaire réalisée par l’Université du Maine en collaboration avec l’Université de l’Île du Prince Édouard.
Pour expliquer ce phénomène, des tests en bassin sont effectués en simulant le réchauffement et l’acidification de l’eau prévue au cours des 85 prochaines années.
Déjà, les chercheurs constatent que cela affecte le métabolisme des crustacés dont leur capacité à respirer.
Les homards du Golfe du Maine ont déjà commencé une migration vers le nord pour éviter ce réchauffement.
Mais, si la population de homard peut migrer, elle ne peut malheureusement pas se sauver de l’acidification des eaux.