Retour sur l’AGA de l’Office des pêcheurs de homard
L’Office dégage un excédent budgétaire en 2017 de 212 mille dollars, qui porte l’encaisse de sa trésorerie à près de 420 mille dollars.
Cette réserve s’explique par l’augmentation record des captures à partir desquelles les pêcheurs lui versent une contribution de quatre sous la livre.
De plus, ses dépenses n’ont jamais été aussi basses depuis 2008, malgré l’embauche de l’avocat Claude Régnier comme conseiller et négociateur principal du plan conjoint, depuis le départ de Léonard Poirier en 2016 :
D’autre part, l’assemblée adoptait une révision des règlements généraux qui interdit désormais à un pêcheur de siéger sur le conseil de l’Office si un membre de sa famille immédiate occupe un poste décisionnel dans une usine de transformation.
Un pêcheur membre de la coopérative Cap-Dauphin n’est pas concerné par la révision, d’expliquer le porte-parole Claude Régnier :
Un montant de 50 mille dollars servira de fonds en cas d’escalade judiciaire de l’arbitrage en cours avec les acheteurs sur le prix versé à quai en 2017.
Le conseil d’administration compte également remettre de l’avant des activités de promotion du homard des Îles, et peut-être même relancer un projet de traçabilité, à son propre compte, au cours des prochaines années.
L’Office poursuit également ses démarches pour se porter acquéreur de la certification Marine Stewardship Concil, actuellement détenue par l’APPIM, qui n’aurait toujours pas confirmé son accord à la transition.

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