Première montréalaise pour un documentaire tourné aux îles

Un documentaire sur l’érosion aux îles-de-la-Madeleine fait partie de la programmation des prestigieuses Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal (RIDM).

À perte de vue s’attache au parcours de trois jeunes sur l’avenir des îles dans le contexte des changements climatiques.

La cinéaste Marie-Chloé Racine, qui a co-réalisé À perte de vue avec Sarah Salem, explique qu’elles ont choisi de donner la parole à la prochaine génération.

Marie-Chloé Racine a découvert les îles en travaillant au Café de la Grave à l’été 2017, ce qui lui a donné l’occasion de côtoyer des jeunes de l’archipel.

Sarah Salem et Marie-Chloé Racine en tournage aux îles. Crédit Photo: Facebook- À perte de vue.

Le tournage a été réalisé de 2018 et 2019 et s’est effectué notamment à l’École Aux Iris de Bassin, que fréquentaient les trois élèves.

À perte de vue fait partie de la compétition officielle du festival dans la section «Explorer la nature», qui sera disponible à l’écoute du 12 au 16 novembre sur le site du RIDM.

Les réalisatrices se réjouissent de cette visibilité, encore plus appréciée du fait que ce festival a inspiré leur passion pour le documentaire